[Petite poésie du soir, où ma main coule avec mes traits d'esprits...
Bonne lecture ! ]
Ô mon âme,
Petit être fébrile,
Bénis-toi, Ô ma Reine.
Que parmi les terres désolées,
Qu'au fond de l'immensité,
Puisses-tu profondément m'allicier.
Être parmi les êtres,
Titan bravant la mer,
Qu'au lever de l'Arcture,
Tu sois mère.
Ainsi,
Filant outre le vent,
Parmi les sylphes chantantes,
Je sois ouvert à ton infini.
Je te chérie,
Ô mon âme,
Toi qui me réchauffes l'esprit,
Toi qui me nourris d'envies.
Merci,
Ô mon âme,
Merci de fondre ton acier brûlant,
Dans les cordes de mon corps.
Que jamais, puisses-tu jamais,
Tu n'arrêteras de me laisser voir l'ersatz,
Cette chandelle si faible et si voyante,
Qui t'infini et te défini.
Laisse moi t'embrasser,
Laisse toi m'embraser...
Commentaires
ha!!!!!!! c'est encore beau! on retrouve le même état d'âme, le même bonheur !
Merci ! ^^
Compte sur moi pour la suite !
Très beau poème Lyokoï, continues