[Voici un petit poème que j'ai écrit en 5 minutes. Maigre réflexion sur un vaste sujet, j'ai essayé d'en faire quelque chose... Bonne lecture !]
Ah toi l’ithyphalle,
Qui ne cesse d’avoir mal,
Toute ta vie est un cri,
Toi que ton nom décrit.
Ecarlate et turgescent,
Rapide, dur et violent,
Ton unique objectif :
Ne pas être furtif !
Libido, pulsion,
Sans aucune modération,
Tu en es l’incarnation,
Nous n’avons pas fait attention.
Mais comment couper cette envie ?
Celle qui justifie notre vie,
Celle qui nous pend au nez,
Face à ce raz de marée.
L’accueillir, tel un enfant,
La couvrir en grandissant,
L’éduquer les bras ouverts
Et lui faire gagner l’envers.