L'onirothèque

[Un vieux poème créé le 17/07/2015, que j'avais oublié de poster ici. Écrit en pleine nuit, par une inspiration de juillet. Bonne lecture ! ;) ]

Chaleur et patience,

Volupté de soirée,

Puise l'idéale science,

Dans ce bel été.

Recherche d'héroïsme

Et de totale liberté,

Fruit d'idéalisme,

Je laisse courir ma pensée...

Certes, Sartre a réifié,

Entre toutes les idées,

Mais que vous le baffiez,

Un autre m'aurait guidé.

J'aime autant l'éphémère,

Si ce n'est plus à sa mort,

Et je prie la fée mère,

D'en juger si c'est un tort.

Ô toi, belle atmosphère,

Qui porte les rouages du temps,

Signe moi la fin de cet enfer,

Je te le rendrai d'autant.

[Voici un poème écris le 25/10/2015. Je l'apprécie beaucoup car j'ai énormément ressenti d'émotions lorsque je l'ai écrit. J'espère que vous pourriez vous aussi en profiter ! Bonne lecture ! :) ]

Une petite figure au milieu du désert,

Un petit être seul recroquevillé,

Le vent et les pleurs,

La nuit tombe et le froid embrasse...

La peur et le calme.

Les tremblement cessent.

L'abandon pour seule voie

Et la mer pleure le retour d'une âme...

L'échec de l'infini face à l'imagination.

Le mal silenieux face au cœur pur.

Et la vie va dans l'impasse,

Et elle pleure un essai de plus...

Le possible hurle sans voix,

Le corps s'effondre,

Et c'est l'univers qui prend conscience...

Plus jamais ça.