[Voici un petit poème que j'ai écrit en 5 minutes. Maigre réflexion sur un vaste sujet, j'ai essayé d'en faire quelque chose... Bonne lecture !]
Ah toi l’ithyphalle,
Qui ne cesse d’avoir mal,
Toute ta vie est un cri,
Toi que ton nom décrit.
Ecarlate et turgescent,
Rapide, dur et violent,
Ton unique objectif :
Ne pas être furtif !
Libido, pulsion,
Sans aucune modération,
Tu en es l’incarnation,
Nous n’avons pas fait attention.
Mais comment couper cette envie ?
Celle qui justifie notre vie,
Celle qui nous pend au nez,
Face à ce raz de marée.
L’accueillir, tel un enfant,
La couvrir en grandissant,
L’éduquer les bras ouverts
Et lui faire gagner l’envers.
[Un petit poème écrit en 5 minutes, j'étais inspiré, j'ai laissé coulé ma plume !]
Aaaaaaah !
Je ne peux pas te croire arc-en-ciel !
Je cours vers toi ! Je cours sur toi !
Mais jamais je ne t’atteins.
Et mince ! Je fais quoi maintenant…
Et bien tant pis, double ou triple.
Je te regarderai toujours,
Car ce que je vois est à moi.
Et aussi multiple que tu sois, je t’aurai !
Je t’aurai, arc-en-ciel, où que j’aille.
Parce qu’il n’y a que sous toi,
Aaaah qu’elle est belle, putain,
Elle y est sous toi, ma belle.
Je t’implore, arc-en-ciel, à genoux !
Si je ne peux t’atteindre, toi,
Malgré tous mes efforts et mes effets,
Laisse-moi lui tendre la main, à elle.
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