L'onirothèque

Recueil des mes écrits

posté le 14-10-2012 à 22:43:40

Je t'aime, toi.

« Je t'aime » est une demande.

« Je t'aime », c'est une question toute simple.


Toi. Toi qui m'est cher,

Toi que j'ai découvert,

Voudras-tu m'ouvrir ta porte,

M'ouvrir ton cœur ? 


Le temps nous a rapproché,

Nous deux portes sont désormais entrouvertes,

Elles communiquent.

 

Mais j'aimerais te connaître,

Un peu plus.

J'aimerais toucher ton âme,

Sur mes lèvres,

Je voudrais dessiner ton corps,

Avec mes mains.


Alors je suis là,

Devant ta porte,

Et je toque.

Une fois.

Seulement une fois

Car tu me vois déjà

Par un petit filet de lumière.

 

Ô toi, voudras-tu me laisser entrer ?

Voudras-tu pousser ma porte ?

 


Commentaires

 

1. Misstouille  le 15-10-2012 à 18:42:04



Juste beau, frêle, léger et dous.
J'aime beaucoup.

2. FOUCH   le 15-10-2012 à 22:09:47

même si le sujet prête évidemment à la poesie, la voilà, à mon goût, c'est simple, court, cela passe tout seul, et c'est BEAU ! bravo, on aime. tu serais pas amoureux des fois? smiley_id119174

3. Kun  le 16-10-2012 à 23:37:49  (site)

Merci pour vos commentaires, cela me va droit au cœur ! ^^

Fouch, Je suis amoureux depuis toujours, j'ai juste un peu plus de maturité pour appréhender ce sentiment. Mais j'ai rencontré quelqu'un qui m'a inspiré et même s'il ne s'est rien passé finalement, j'ai décidé de garder le meilleur.

4. fouch  le 21-10-2012 à 09:24:34

le plus beau, m'a t'on dit, car la phrase n'est pas de moi, dans l'amour, c'est quand on monte l'escalier.

5. Kun  le 24-10-2012 à 13:16:04  (site)

Très joli ! ^^ Je suis d'accord avec cette phrase.

 
 
 
posté le 02-12-2012 à 20:17:27

Ô mon âme !

[Petite poésie du soir, où ma main coule avec mes traits d'esprits...

 

Bonne lecture ! ]

 

Ô mon âme,
Petit être fébrile,
Bénis-toi, Ô ma Reine.

 

Que parmi les terres désolées,
Qu'au fond de l'immensité,
Puisses-tu profondément m'allicier.

 

Être parmi les êtres,
Titan bravant la mer,
Qu'au lever de l'Arcture,
Tu sois mère.

 

Ainsi,
Filant outre le vent,
Parmi les sylphes chantantes,
Je sois ouvert à ton infini.

 

Je te chérie,
Ô mon âme,
Toi qui me réchauffes l'esprit,
Toi qui me nourris d'envies.

 

Merci,
Ô mon âme,
Merci de fondre ton acier brûlant,
Dans les cordes de mon corps.

 

Que jamais, puisses-tu jamais,
Tu n'arrêteras de me laisser voir l'ersatz,
Cette chandelle si faible et si voyante,
Qui t'infini et te défini.

 

Laisse moi t'embrasser,
Laisse toi m'embraser...

 


Commentaires

 

1. Shaara  le 03-12-2012 à 10:27:12

Très beau poème Lyokoï, continues Clin doeil

2. Lyokoï  le 04-12-2012 à 19:46:39  (site)

Merci ! ^^

Compte sur moi pour la suite ! Clin doeil

3. fouch  le 15-01-2013 à 23:42:20

ha!!!!!!! c'est encore beau! on retrouve le même état d'âme, le même bonheur !

 
 
 
 

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